Interview de Greg, géomètre.

« Il règne ici un incroyable sentiment d’appartenance : tout le monde s’entraide »

Après avoir fait sports études et une 7e année en sécurité intégrale, puis effectué un écart en douceur par rapport à son rêve de devenir un jour pompier ou policier, Greg Emmerechts (26 ans) a finalement embrassé une carrière de géomètre. « La géométrologie, c’est bien plus que des chiffres et des tableaux : il faut aussi être capable de réconcilier différentes parties. Ce côté diplomatique me convient parfaitement. »

Landmeter Greg Spoorweg

Quel parcours particulier faut-il suivre avant d’obtenir le diplôme de géomètre ?

Pendant cette année supplémentaire en sécurité intégrale après mes secondaires, les mathématiques ont soudain commencé à me manquer. Étudier la géométrologie m’a semblé être la seule étape logique. Mes amis se moquaient : ‘Pourquoi, tout le pays a déjà été mesuré, non ?’, mais j’ai persévéré. Ce n’était pas une orientation évidente avec mon bagage, car lors de ce premier bachelier, j’ai surtout côtoyé des gens sortis de maths-sciences. Grâce à des cours particuliers et à de nombreuses recherches en ligne, j’ai réussi ma première série d’examens. À ce moment-là, j’ai su que j’étais lancé. J’ai trouvé ces études de plus en plus passionnantes au fil des années, principalement grâce à l’enthousiasme des professeurs de l’AP Hogeschool d’Anvers. Leur passion et leur dynamisme m’ont certainement encouragé à aller jusqu’au bout de ma formation.

« Sur un chantier, il n’y a pas de marge d’erreur et j’aime cette pression. »

En quoi consiste votre travail chez Teccon ?

Je m’occupe principalement de la topographie en surface à l’aide d’une station totale et d’un GPS : mesure de situations existantes, mesures pour les délimitations de parcelles. Jusqu’à présent, mon principal projet a été l’A12, les expropriations en fonction de la nouvelle ligne de tram à développer. Maintenant que ce projet est un peu au point mort, je réalise principalement des mesures pour l’AWV et des mesures privées, et je prends occasionnellement quelques chantiers de construction. Avec le temps, j’aimerais vraiment approfondir cette matière : sur un chantier de construction, on attend une précision immédiate, afin que les équipes puissent se mettre directement au travail. Il n’y a pas de marge d’erreur et j’aime cette pression, cette dynamique. En définitive, j’aime particulièrement la diversité. Ne me faites donc pas faire du balayage laser tous les jours. Je veux me présenter sous tous les angles afin d’être à l’aise sur tous les marchés, et donc être multitâche en cas de besoin.

Opmeting bij het fort van Breendonk
Landmeter totaalstation spoorwegwerf

Qu’est-ce qui donne du sens à votre travail, qu’est-ce qui vous procure de la satisfaction ?

La détermination de limites – la mesure d’une haie, une clôture, un fossé – semble être un travail simple à première vue, mais cela peut cacher des choses très complexes. Les informations sur les plans du cadastre, les croquis de mutation et les actes contiennent toutes sortes de données qu’il faut savoir combiner. Cela implique de communiquer avec les voisins, de collaborer avec des collègues et d’éplucher d’anciens plans, car ils racontent rarement la même histoire. Mais, au bout du compte, il faut parvenir à un accord avec toutes les parties concernées. Les réconcilier dans un plan cohérent que tout le monde approuve : voilà ce qui me donne la pêche.

De quelle réalisation êtes-vous le plus fier ?

L’obtention de mon diplôme, contre toute attente. Mais aussi de savoir que si le ring d’Anvers est un jour terminé, j’aurai apporté ma pierre à l’édifice. Ou qu’un usager faible peut maintenant traverser en toute sécurité, parce que j’ai aidé à mesurer correctement le carrefour. En effet, sans un plan minutieux, une telle intervention publique est impossible. Je trouve cet aspect de mon travail extrêmement précieux.

 

Enfin, qu’est-ce qui fait de Teccon un bon employeur ?

Chaque fois que j’ai un problème, je peux immédiatement me tourner vers des collègues pour trouver une solution. Pour un jeune homme sans beaucoup d’expérience, de tels interlocuteurs valent de l’or. Il règne un énorme sentiment d’appartenance, tout le monde s’entraide. Sinon, je ne travaillerais pas ici depuis deux ans et demi. (rires) Ce sentiment de groupe est encore renforcé par l’organisation d’activités, comme le petit-déjeuner de Pâques prochainement ou la journée des familles en août. Nous ne sommes pas seulement des collègues, cela va plus loin. On a presque l’impression de rentrer à la maison quand on part au travail. Ici, je ne dois pas avoir peur de dire quelque chose qu’il ne faut pas, je peux même aller saluer mon chef en faisant un peu d’humour. Cette ambiance très décontractée est très spéciale pour moi. Ici, on est relax, il n’y a aucune hiérarchie écrasante !

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« Notre expertise peut avoir un impact énorme sur le résultat final »

Lisez ici le récit de Gilles, géomètre.

Meting langs de snelweg

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